Les artistes
La lumière et la femme l’inspirent... sa formation d’architecte d’intérieur l’aide à aborder la lumière tandis que sa formation artistique l’amène vers la sculpture.
En utilisant le carton comme matière première dans son travail, Marie-Anne Thieffry permet à cet emballage archétypal de consommation de devenir l’essence d’œuvres empreintes de légèreté, de poésie et de lumière.
En revisitant le carton, elle le fait évoluer, il n’est plus un simple contenant, il devient l’élément principal de la création, il n’est plus un matériau ordinaire, il est le support de nouvelles formes et d’émotions.
L’indifférence qu’on lui porte souvent, l’artiste en prend le contre pied et met à l’honneur une matière « synonyme de liberté », malléable et pleine de dualité. La douceur et l’élégance des courbes est en contradiction avec l’âpreté de la matière et créent un paradoxe.
En associant la lumière et la transparence à une matière brute et souvent ignorée, Marie-Anne Thieffry crée une forme d’expression plastique et sensible qui joue sur l’enveloppe des formes et ce qui s’y cache, oscillant entre légèreté, poésie et sensualité...
Une artiste passionnée, qui manie la plume et les mots. Les voyages inspirent son travail et les transforment en œuvres d’art.
Elle est une femme et une mère boulimique de la vie. Voici 20 ans qu'elle est calligraphe, sa vocation a été toute naturelle dès ses 15 ans, ses études ont été déterminées par sa passion, la calligraphie, la poésie, qui à cette heure est à la mode, mais désuet par rapport à l'emploi de l'outil informatique.
Didier Ferré
Charente Maritime
Le travail du sculpteur français Didier Ferré a été exposé dans toute la France. Inspiré par les rêveries, les voyages et les matières premières, Didier a deux processus artistiques distincts. La première consiste à travailler directement avec la matière première pour découvrir la forme abstraite finale, et la seconde à entreprendre une approche plus académique, à partir de modèles et de formes étudiées. Ferré travaille le calcaire des îles à grain fin, donnant aux sculptures finies un aspect semblable à l'ivoire ou au marbre. Les pièces abstraites de Didier sont intemporelles et élégantes.
Après avoir récupéré une tranche de bois, Izabella et Victor la ponce pour obtenir une surface lisse. Elle est ensuite brûlée au chalumeau pour ôter toute trace de bois tendre et une nouvelle fois grattée pour enlever le bois brûlé .
La tranche sert ensuite de tampon
Depuis toujours Florence rêve de paysages, entre rêve et réalité ils surgissent dans une flaque, sur une plage.
La flaque devient parfois animal fantastique resurgi des contes de l'enfance.
Ardina Strüwer est une photojournaliste suédoise spécialisée dans les voyages, l´art de vivre
et les chevaux.
Elle expose depuis de nombreuses années notamment à Stockholm, au Musée National de
Nairobi, ainsi qu’à Montfort l´Amaury (Yvelines) où elle résidait avant de s´installer en bords
de Loire.
A travers son métier, Ardina a beaucoup voyagé, notamment au Kenya aux Etats-Unis,
Espagne, Portugal, Inde. Les bancs de sable de la Loire lui rappellent les paysages fluviaux
africains. Elle réside désormais à Montsoreau.
Les photos exposées à la Boutique du 4 sont des photos noir et blanc tirées sur du papier
fine art.